A fait partie du régiment des fusiliers chasseurs de la garde, matricule 6017, arrivée au corps le 28 septembre 1812, concrit de l'an 1813 (ce qui correspond à l'époque de la campagne d'Allemagne après la défaite en Russie) 

Fusilier du 19e Régiment d'Infanterie de Ligne, 2e bataillon, 2e compagnie

Mort le 5 février 1814 dans un hôpital militaire à Soissons 

Deuxième soldat au bataillon d'ouvrier d'administration, 5e compagnie, matricule 4014

Mort à l’hôpital de Bône (Algérie) le 29 novembre 1848 (25 ans) 

Grenadier en garnison à Versailles en 1862

Grenadier de la garde impériale, caserné au 76 rue du Faubourg Poissonnière en 1860

Mort à Paris 11e le 9 juin 1866 (30 ans) 

Exempté des service militaire par tirage au sort, il est appelé en août 1870 et fait partie de l'armée de la Loire. 1er bataillon d'infanterie, 5e compagnie, matricule 314. Il est libéré le 10 mars 1871 

Campagne contre l'Allemagne 1870-1871 et contre la Commune de Paris, au 37e de ligne. 

Militaire en Afrique, au 1er régiment d'infanterie de marine, lors de la colonisation du Sénégal et du Mali 

Après avoir fait campagne du 2 aout au 20 novembre 1914 (à 43 ans), il est détaché aux usines Schneider du Creusot et libéré des obligations militaires le 19 décembre 1918 

Service militaire de 1894 à 1895 au 70e régiment d'infanterie

Mobilisé du 14 août 1914 au 1er janvier 1919

Caporal le 16 avril 1918

Croix de guerre avec étoile de bronze 

Service au 19e bataillon de chasseurs à pieds, de novembre 1895 à septembre 1998

Mobilisé en aout 1914, il fait campagne contre l'Allemagne du 17 aout au 21 octobre, puis est détaché le 22 octobre 1914 aux usines Schneider du Creusot 

Appelé de 1896 à 1899 au 41e régiment d'infanterie

Mobilisé du 4 août 1914 au 3 février 1919, il semble être sorti indemne 

Soldat du 76e Régiment d'Infanterie Territorial.

Mobilisé en 1914. Blessé par balle à la bouche et au cou, le 7 novembre 1914.

Mort le 7 janvier 1915 à l’hôpital militaire de Caen (Calvados) 

Service militaire au 26e régiment de dragons, de novembre 1899 à septembre 1902. Il est blessé par le cheval "Monarque" le 23 février 1901

Il devient brancardier en août 1914.

Croix de guerre avec étoile de bronze 

Service au 69e régiment d'infanterie de novembre 1899 à septembre 1902

Blessé par éclat d'obus à Verdun le 14 août 1916. Réformé pour paralysie radiculaire du plexus brachial droit. Pensionné à 50% 

Services au 153e régiment d'infanterie de novembre 1903 à septembre 1906

Mobilisé en août 1914 et aux armées du 28 aout au 24 novembre.

Probablement blessé (à l'hopital de Lyon à partir du 25 novembre 1914) il est à nouveau aux armée du 8 mars 1915 au 30 novembre. Il est ensuite envoyé aux carrière d'Aingeray jusqu'à la fin de la guerre 

Service au 29e régiment d'infanterie, de novembre 1905 à septembre 1906 (dispensé parce qu'il a un frère au service)

Mobilisé le 12 août 1914 puis évacué malade le 17 janvier 1915 et est ensuite affecté aux usines Schneider du Creusot 

Canonnier servant du 21e régiment d'artillerie de campagne.

Mort pour la France le 12 décembre 1917, à Saint Michel de Maurienne en Savoie, lors d'une catastrophe ferroviaire, à l'âge de 30 ans. 

Rappelé le 2 aout 1914 au 130e régiment d'infanterie. Blessé par balle le 10 aout 1914, il reste hospitalisé jusqu'au 22 septembre 1915 et rejoint les armées le 23 novembre 1915. Blessé le 7 mars 1916 près de Dommartin-sous-Hans. Rendu aux armées le 25 avril 1916. Fait prisonnier le 15 juillet 1918 à Moronvillier. Interné à Darmstadt. Rapatrié le 22 novembre 1918. A été gazé. Reconnu invalide de guerre.

Mort le 20 juillet 1943. Son épouse est reconnue "veuve de guerre". 

Rappelé en activité au 54e régiment d'infanterie lors de la mobilisation générale le 3 août 1914. Blessé le 4 novembre par éclat d'obus au pied droit et évacué. Nommé caporal le 12 janvier 1915. Affecté au 154e régiment d'infanterie le 31 janvier 1915. Blessé le 12 juin 1915 par éclats d'obus à la hanche droite et aisselle droite et évacué. Rejoint le 154e régiment d'infanterie le 25 octobre 1915. Nommé sergent ce même jour. Nommé adjudant le 5 juin 1916 et sous lieutenant à titre temporaire à compter du 12 juin suivant. Blessé le 27 septembre 1916 à la face par explosion d'obus. Muté au 372e régiment d'infanterie, armée d'Orient, le 28 janvier 1917. Blessé par balle à la nuque le 15 mai 1918. Rejoint son régiment le 27 juin 1918.

Lieutenant de réserve à titre temporaire à compter du 12 juin 1918 (décision du 19 aout 1918)

Evacué pour "courbatures fébriles" (paludisme ?) le 21 aout 1918 vers l'hopital de Salonique. Rejoint son régiment le 28 aout

Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de guerre avec 5 citations

Démobilisé le 2 septembre 1919.

Promu capitaine en 1934 et remobilisé en 1939 puis démobilisé le 31 août 1940 à Rennes pour compter du 26 juin (50 ans) 

S'engage pour 3 ans au 2e régiment de zouaves, le 23 avril 1913. Participe au début de la guerre en France puis est muté au 175e régiment d'infanterie en août 1915 et envoyé en Orient (Campagne des Dardanelles) d'où il revient avec le paludisme fin octobre 1916. Il est "à l'intérieur" jusqu'à juillet 1918 puis termine la guerre avec le 35e régiment d'infanterie comme "fusilier mitrailleur d'élite". Il est démobilisé en septembre 1919 et se retire à Autun.

Croix de guerre avec étoile de bronze 

Incorporé au 70e régiment d'infanterie le 8 septembre 1914 et nommé caporal dès le 18 novembre. Blessé le 12 avril 1915, il retourne au front le 16 octobre. Fait prisonnier le 20 mai 1916, il est rapatrié le 9 janvier 1919.

Croix de guerre avec étoile de bronze 

Incorporé au 12e régiment de hussards le 4 septembre 1914. Aux armées le 30 septembre et muté au 85e RI le 12 octobre puis au 134e RI le 10 décembre.

Blessé par balle ayant fracturé l'extrémité supérieure de l'humérus du bras droit (près de l'épaule) et évacué le 11 avril 1915. Pensionné à 60%

Médaille militaire, croix de guerre avec palme. 

Mobilisé le jour de ses 18 ans il participe à la guerre de 14-18 à partir du 18 juillet 1918 au sein du 9e bataillon du 70e RI. En aout 1919 il est nommé sergent et il part pour le Maroc avec le 8e RT au printemps 1920. Il est blessé par balle à la jambe gauche le 10 aout 1920, hospitalisé puis rapatrié.

Médaille militaire pour cette blessure en 1954

Il est remobilisé en 1939 et fait prisonnier le 18 juin 1940 à Cosne sur Loire, il est libéré le 25 octobre 1940 

Incorporé au 69e régiment d'infanterie fin avril 1918 puis muté au 113e, il est aux armées à partir du 2 septembre 1918 et renvoyé dans ses foyers le 25 mars 1921

Il est remobilisé le 6 mai 1921 et affecté au régiment d'infanterie coloniale du Maroc, mais finalement libéré dès le 17 juin 

Lieutenant pharmacien, mobilisé en 1939 et démobilisé en juillet 1940 

Adjudant. Fait prisonnier, le 19 mai 1940, à Carnières. Interné à l'oflag IV-D selon l'état de ses services ou au stalag IV-B selon une liste de prisonniers éditée en janvier 1941. Démobilisé le 6 juillet 1942. 

Médecin militaire.

Capitaine en 1940 et fait prisonnier, libéré provisoirement fin aout 1940 mais renvoyé en camp de prisonniers en Allemagne début 1943, jusqu'à sa libération en mai 1945.

Médecin commandant en 1949

Chevalier de la Légion d'honneur en 1961 

Sous-lieutenant observateur sur LeO. 451. Mort pour la France le 18 mai 1940 à Esquéhéries dans l'Aisne.

Ordre «C» n° 49 du 4 juin 1940

Le Général Commandant en Chef Vuillemin, Commandant en Chef les Forces Aériennes, cite à l’ordre de l’Armée Aérienne :

L’Equipage du Groupe de Bombardement I/31 :
Sous-Lieutenant Boudot - Commandant d’Avion,
Sergent-Chef Gombert - Pilote,
Adjudant-Chef Gast - Canonnier,
Sergent-Chef Le Guellec - Radiotélégraphiste :

équipage d’un allant remarquable. A effectué dans de bonnes conditions, le 17 mai 1940, le bombardement à basse altitude d’une colonne motorisée ennemie. L’appareil étant en flammes, n’a évacué le bord en parachute qu’après avoir atteint nos premières lignes.

Cette citation comporte l’attribution de la Croix de guerre avec palme 

Français libre : "Engagé volontaire dans les F.F.L. en Angleterre pour compter du 1° juillet 1940. Opération de Dakar et débarque à Douala le 9 octobre 1940. Dirigé le 25 décembre 1940 sur le Soudan Britannique et le 7 mai 1941 sur la Palestine. - Participe avec la 101° Compagnie auto aux opérations d' Erythrée et de Syrie - Avec la 1° Brigade puis 1° Division Française Libre, est engagé dans les opérations de Libye (combats d'Al Alamein puis de Bir Hakeim) et de Tunisie. - Débarque à Naples le 4 mai 1944 : Campagne d'Italie puis en Provence le 20 août 1944,: Campagne de France; blessé le 20 octobre 1944; i1 rejoint son unité le 1° janvier 1945 et continue la campagne de France jusqu'à la fin des hostilités" 

Spahi et Français Libre dès la fin juin 1940

Maréchal des logis mais remis 2e classe à sa demande il finira la guerre simple brigadier en 1945, avec la 2e DB

Paludéen

Mort en 1954, peut être des suites d'une chute à moto en Egypte vers 1942 

Engagé en 1943 comme sapeur de chemin de fer dans un reliquat de l'armée de Vichy (c'était ça ou le STO), il sera ensuite démineur.